La Société des brasseries du Gabon (Sobraga) est à l’origine de nombreux décès au sein de la population gabonaise. Les boissons sucrées ou alcoolisées fabriquées par l’entreprise, aux grands bénéfices, sont en réalité des poisons silencieux à long terme pour les Gabonais. Cette tuerie à grande échelle est orchestrée et surtout entretenue depuis 30 ans. L’équipe de Fabrice Bonatti se rassure de maintenir la pérennité du complot.
Que les Gabonais meurent à masse ou pas, faire les bénéfices est la priorité de la première et unique société des brasseries du Gabon, la Sobraga.
Malgré les interpellations des autorités sanitaires, l’entreprise fait la sourde oreille scotchée dans son éternel monopole entretenu par les autorités.
Cela dure 30 ans que la Sobraga fait boire la mort à de nombreux Gabonais par ses dosages de boissons sucrées et alcoolisées. Elles causent des maladies qui rendent esclaves les malades à des traitements à vie donc incurables.
Ainsi, pour éviter de nous éterniser à citer la longue liste des maladies incurables issues des consommations made in Sobraga, on peut néanmoins répertorier quelques-unes d’entre elles comme le diabète, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), l’hypertension.
Nous avons mené nos enquêtes auprès des spécialistes. Le Coca-Cola, le Fanta, le Tonic, le Djino, le Sprite et l’Orangina sont très mortels au corps des consommateurs à cause du taux de sucre très élevé malgré les colorants au grès des variations.
Ainsi, pour être plus pratique dans nos propos, un petit verre de l’un des jus de Sobraga contient 125 ml, ce qui correspond à 2 carrés de sucre, approximativement 10 grammes de sucre. Toutefois, les cannettes sont à 33cl, ce qui correspond à 330 ml, donc cela est l’équivalent de 28 grammes de sucre dans ce type de format. En gros on a 6 , voire 7 morceaux de sucre. Ainsi, le diabète et d’autres maladies sont garanties.
En outre, les boissons alcoolisées de Sobraga sont des laissez-passers pour les cancers donc elles sont cancérigènes. Les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS), de l’œsophage, du foie, du sein chez la femme et le cancer colorectal sont assurés.
Loin d’être exhaustifs, les boissons comme le Booster contiennent du Whisky Black, Gin Tonic, Gingembre et du sucre avec abondance, un véritable cocktail pour passer de la vie à trépas, de façon certaine.
D’après les données statistiques au Gabon, le nombre de personnes atteintes du diabète a triplé sinon quadruplé depuis 25 ans partant de 2 à 10%.
Cependant, la question qui taraude les esprits parmi certains anciens consommateurs victimes de nombreux poisons de la Sobraga est: pourquoi l’entreprise Sobraga s’obstine à ne pas s’arrimer aux normes internationales reconnues et adoptées par les autres pays?
Les agents de Luther Abouna, le directeur général de la Consommation et de la Concurrence, devraient faire mieux leur boulot pour arrêter le plus tôt possible ce qui parait être un génocide national orchestré par des hommes d’affaires véreux car ils n’ont pour objectif que de faire de gros chiffres d’affaires.
Nous n’avons aucun souci dans le chiffre d’affaires des entreprises comme la Sobraga. Toutefois, le fait qu’il soit obtenu en tuant les Gabonais ne peut nous empêcher de nous inquieter. Personne ne peux décider volontairement de dépenser son argent pour obtenir un passeport qui le conduira droit à la mort.
Il serait donc de bon aloi que les autorités compétentes se penchent sur le cas de la SOBRAGA afin de la recadrer en vue de stopper ce génocide qui cause des dégats énormes dans la vie des consommateurs.